Rienle matin. Rien l'aprĂšs midi. Rien le soir. J'ai vu mon bĂątonnier en lui disant qu'il me sera impossible de tenir la semaine si je devais faire face Ă  Jene parlerai qu'en prĂ©sence de mon avocat. Je veux voir mon avocat. Étant donnĂ© qu'il peut difficilement y avoir affirmation plus claire de la volontĂ© d'exercer son droit de recourir Ă  un avocat, il n'est pas nĂ©cessaire en l'espĂšce de dĂ©cider si une personne arrĂȘtĂ©e ou dĂ©tenue doit formellement revendiquer son droit Ă  l'assistance d'un avocat pour qu'une obligation Lavocat peut effectuer Ă  la place de son client et mĂȘme en leur prĂ©sence, tout acte utile devant les diverses juridictions et auprĂšs des diffĂ©rents acteurs de la justice. Il reprĂ©sente son Maispour le moment je n’ai pas fini mon combat. Il n’est pas question de laisser Simon s’en tirer de cette façon. J’ai pris une avocate, une femme formidable, MaĂźtre Samia Meghouche, habituĂ©e des causes dĂ©sespĂ©rantes ou dĂ©sespĂ©rĂ©es, je ne sais pas trop. L’expertise mĂ©dicale, aprĂšs biopsie conclue Ă  : « prĂ©sence de EnprĂ©sence de, lorsqu’en un lieu se trouve telle personne, tel Ă©lĂ©ment ; devant. Cet accident s’est produit en prĂ©sence de nombreux tĂ©moins. Cette inauguration aura lieu en prĂ©sence du ministre. Rendre un jugement en prĂ©sence des parties. Je ne parlerai qu’en prĂ©sence de mon avocat. Cette rĂ©action chimique ne peut avoir lieu qu Vay Tiền TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chỉ Cáș§n Cmnd Hỗ Trợ Nợ Xáș„u. on est convoquĂ© Ă  trois contre un on Ă©vite d'en dire vous l'a dit Milou vous ne pouvez pas imposer un dĂ©lĂ©guĂ© s'il n'y a pas de convocation en rĂšgle, mais vous pouvez aussi dire que vous n'entendez pas vous soumettre Ă  un tribunal sans avoir un tĂ©moin de ce qui se nul ne peut vous forcer Ă  signer quoi que ce soit, mĂȘme pas la police !Je vous conseille de faire un courrier recommandĂ© AR qui laissera une trace de votre position, courrier ou il vous appartiendra de faire valoir que le mot de trop prononcĂ© a Ă©tĂ© une erreur due Ă .... Ă  vous de voir qui ne peut en aucun cas justifier ensuite un acharnement Ă  votre Ă©gard, jamais laisser de telles situations sans contester vigoureusement, non pas ce qui a Ă©tĂ© dit, mais l'utilisation qui en a Ă©tĂ© Ajouter au panier 5$ 99 Format numĂ©rique Toute la sĂ©rie - 2 tomes 11$ 98 Acheter toute la sĂ©rie Toute la sĂ©rie - 2 tomes 11$ 98 Format numĂ©rique 5,99$ -Ajouter au panier Format numĂ©rique Toute la sĂ©rie - 2 tomes 11$ 98 Acheter toute la sĂ©rie Toute la sĂ©rie - 2 tomes 11$ 98 RĂ©sumĂ© de l'Ă©diteur Delcourt Un avocat est tout sauf drĂŽle... Objection ! Pour preuve, avec sa logique toute personnelle, maĂźtre Marley est le plus compĂ©tent des comiques d'office !MaĂźtre Marley n'est pas un avocat comme les... En lire plus Langue Modes de Lecture HD eazyComics 0 avis de la communautĂ© Signaler un problĂšme dans l’album Brainstorming BLOG essentiellement photographique ! Cliquez sur les images pour une dĂ©finition maximum et en GRAND FORMAT ! BUG du BLOG ! lundi 30 avril 2012 " Je ne parlerai qu'en prĂ©sence de mon Avocat " ... PubliĂ© par patton Ă  211200 LibellĂ©s gossip, photo-folie Aucun commentaire Enregistrer un commentaire Article plus rĂ©cent Article plus ancien Accueil Inscription Ă  Publier les commentaires Atom Une plaignante a-t-elle le droit d’ĂȘtre assistĂ©e par son avocat lorsqu’elle porte plainte ou est entendue en sa qualitĂ© de victime ? En pratique, les forces de l’ordre s’y opposent souvent sur la base d’une interprĂ©tation toute personnelle du code de procĂ©dure pĂ©nale. S’il faut admettre que le code n’est effectivement pas clair sur ce point, ce droit existe et la prĂ©sence de l’avocat aux cotĂ©s de la victime lorsque celle-ci est auditionnĂ©e au stade de l’enquĂȘte ne peut ĂȘtre lĂ©galement refusĂ©e. C’est un jour comme un autre dans la vie d’une avocate. Alors qu’il/elle accompagne une victime d’infraction dĂ©poser plainte, il/elle se voit opposer une fin de non-recevoir et subit ce dialogue effarant DĂ©solĂ© MaĂźtre mais vous n’ĂȘtes pas autorisĂ©e Ă  accompagner votre client dans le cadre de son dĂ©pĂŽt de plainte » ; Evidemment que si » ; Ce n’est pas l’avis de ma hiĂ©rarchie et le code ne vous donne pas expressĂ©ment ce droit, bonne journĂ©e ! » ; TrĂšs bien, je saisis le Parquet » ; Faites ça ». Bien entendu, le Parquet confirmera par mail le droit de ce confrĂšre/consƓur Ă  accompagner toute personne dĂ©sirant porter plainte qui le souhaiterait. Mais le temps d’obtenir ce mail, quel temps perdu ! Racontant cette histoire autour de nous, il nous est apparu que si les policiers et gendarmes ignoraient ce droit - ou feignaient de l’ignorer pour mieux se dĂ©barrasser de la prĂ©sence d’un conseil - son existence n’était pas d’une grande Ă©vidence non plus dans l’esprit de nombres de confrĂšres, pourtant pĂ©nalistes depuis longtemps - certains pensant mĂȘme que la prĂ©sence de l’avocat au moment de la plainte est une simple possibilitĂ© » laissĂ©e Ă  l’apprĂ©ciation arbitraire du policier ou gendarme prenant la plainte. Il est donc temps de clore, dĂ©finitivement ce dĂ©bat, et de dire ceci clairement aux victimes votre avocat peut vous accompagner lorsque vous portez plainte au commissariat ou Ă  la gendarmerie ou - si la plainte a Ă©tĂ© dĂ©posĂ©e par votre avocat par Ă©crit auprĂšs du Procureur de la RĂ©publique - lorsque ceux-ci dĂ©cident de procĂ©der Ă  votre audition. C’est votre droit 1, avant d’en dessiner les contours et limites 2. 1. Le droit pour toute victime d’ĂȘtre accompagnĂ©e d’un conseil lors de son dĂ©pĂŽt de plainte auprĂšs des forces de l’ordre. Force est de le constater, le code lui-mĂȘme est ambigu sur ce sujet. L’article 10-2 du code de procĂ©dure pĂ©nale n’énonce clairement le droit Ă  l’avocat que lorsque la victime entend se constituer partie civile 10-2 3°, lorsqu’elle doit ĂȘtre confrontĂ©e au mis en cause 63-4-5 et 77 CPP ou lorsqu’elle doit participer Ă  certains actes d’enquĂȘte reconstitution, identification, 61-3 CPP. Il n’est donc pas clairement posĂ© par le code de droit Ă  l’avocat au moment du dĂ©pĂŽt de plainte ou de son audition - rendant ainsi possible le refus des policiers ou gendarmes que nous constations. Ce silence des textes est plus que regrettable, tant ces moments de parole de la victime sont essentiels dans le processus pĂ©nal parole mal expliquĂ©e, mal rĂ©digĂ©e, mal relue, mal passĂ©e, et voilĂ  le dossier qui dĂšs son point de dĂ©part risque de ne pas aller bien loin, voire nulle part. Sans compter les difficultĂ©s psychologiques liĂ©es Ă  la difficultĂ© d’affronter seule un monde inconnu, parfois hostile, devant lequel il faut malheureusement s’ouvrir entiĂšrement, parfois jusqu’aux trĂ©fonds de son intimitĂ©. Pourtant, si le code ne le dit pas explicitement, le droit d’avoir son avocat avec soi au moment de porter plainte ou d’ĂȘtre entendu existe, quoiqu’on en dise, quoiqu’on oppose aux conseils se prĂ©sentant avec leurs clientes. En effet, l’article 10-2, comme l’article 10-4, usent d’une formule vague permettant - mĂȘme s’il est malheureux d’en passer par lĂ  - au conseil de passer par la fenĂȘtre, Ă  dĂ©faut de pouvoir entrer par la grande porte A tous les stades de l’enquĂȘte, la victime peut, Ă  sa demande, ĂȘtre accompagnĂ©e par son reprĂ©sentant lĂ©gal et par la personne majeure de son choix ». Votre avocate ayant de grande chance d’ĂȘtre majeure, et le code vous donnant le droit absolu d’ĂȘtre accompagnĂ© et une libertĂ© totale de choix quant Ă  la personne de votre accompagnateur, il vous est donc parfaitement possible de vous prĂ©senter pour dĂ©poser plainte ou ĂȘtre entendue, accompagnĂ©e de celui ou celle-ci. 2. Contours et limites du droit d’ĂȘtre accompagnĂ©. Mais que signifie ĂȘtre accompagnĂ©e par un avocat ? Et la plainte et/ou l’audition du plaignant sont-elles des stades de l’enquĂȘte », ouvrant ce droit Ă  un accompagnant ? En effet, si le droit d’avoir un conseil se limite Ă  ce que celui-ci vous accompagne » jusqu’à la porte du policier ou du gendarme chargĂ© de vous entendre pour finalement rester dans la salle d’attente, aux motifs comme le prĂ©tendent les forces de l’ordre qu’il/elle n’a qu’un droit d’accompagnement pas d’assistance ou que la plainte ou l’audition n’est pas un Ă©lĂ©ment de l’enquĂȘte, cette prĂ©sence n’a que peu d’intĂ©rĂȘt. Fort heureusement, cette interprĂ©tation policiĂšre du texte a Ă©tĂ© explicitement condamnĂ©e par une rĂ©ponse officielle du MinistĂšre de la Justice. Celle-ci va plus loin que cette condamnation en posant clairement que le rĂŽle de l’avocat est bien un rĂŽle d’assistance et que celui-ci est un droit dont bĂ©nĂ©ficie la victime au moment du dĂ©pĂŽt de plainte lui-mĂȘme et a fortiori de son audition Question n°16044 - Accompagnement victimes par un avocat lors du dĂ©pĂŽt de plainte - rĂ©ponse du c’est nous qui soulignons Si la possibilitĂ© pour la victime d’une infraction d’ĂȘtre assistĂ©e d’un avocat lors du recueil de sa plainte n’apparaĂźt pas expressĂ©ment dans les dispositions des articles 10-2 et 10-4 du code de procĂ©dure pĂ©nale CPP, il n’en demeure pas moins que cette possibilitĂ© est offerte Ă  la victime et ne pose aucune difficultĂ© juridique. En effet, ce droit dĂ©coule des dispositions des articles 10-2 et 10-4 du CPP qui permettent Ă  la victime, Ă  tous les stades de la procĂ©dure, y compris lors du dĂ©pĂŽt de plainte, d’ĂȘtre assistĂ©e de la personne de son choix. De plus, le dĂ©pĂŽt de plainte entre parfaitement dans le cadre de l’enquĂȘte. S’agissant d’un procĂšs-verbal d’audition, il constitue un acte de police judiciaire et par consĂ©quent un acte d’enquĂȘte Ă  part entiĂšre. » On ne se plaindra Ă©videmment pas de cette rĂ©ponse officielle de la Garde des sceaux, et de l’analyse fort juste [1] consistant Ă  dire qu’une plainte est bien un Ă©lĂ©ment de l’enquĂȘte Ă  part entiĂšre » et souvent son point de dĂ©part, mais on relĂšvera tout de mĂȘme le glissement sĂ©mantique du terme accompagner » visĂ© au code au terme assister ». On le relĂšvera mais on ne s’en plaindra pas, disions-nous, car le recours Ă  la notion d’assistance » par un avocat permet certes d’imposer la prĂ©sence physique de cet accompagnateur particulier au moment mĂȘme du dĂ©pĂŽt de la plainte aux cĂŽtĂ©s du client mais surtout de lui donner toute sa place de conseil [2]. Assister » c’est en effet ĂȘtre prĂ©sent », mais c’est aussi aider » et, nous avocats concernant aider le justiciable dans sa dĂ©fense » [3], le conseiller et le dĂ©fendre » [4], prendre la parole dans son intĂ©rĂȘt » et partant rectifier les malentendus, relire le procĂšs-verbal et, le cas Ă©chĂ©ant, demander des corrections. Toutefois, l’avocat saisi ne pourra pas tout faire. En effet, faute de prĂ©vision explicite de son intervention dans les textes, il ne pourra ni demander Ă  consulter les Ă©ventuelles auditions antĂ©rieures de son/sa cliente, s’il y en a, ou de poser des questions ou faire des observations actes possibles au stade de la confrontation art. 63-4-3 CPP. Au moment oĂč l’enquĂȘte de police prend de plus en plus le pas sur l’instruction, dont le nombre s’est rĂ©duit Ă  peau de chagrin, sans que les droits de la dĂ©fense des auteurs comme des victimes n’aient Ă©tĂ© renforcĂ©s pour rééquilibrer la procĂ©dure, il serait peut-ĂȘtre bon de profiter de ce que notre nouveau Ministre de la Justice soit issu de nos rangs pour qu’enfin le droit soit donnĂ© Ă  la victime d’ĂȘtre officiellement, lĂ©galement, assistĂ©e par un avocat lors de sa plainte ou de son audition, avec pouvoir pour celui-ci d’ĂȘtre entendu en ses questions et observations. EspĂ©rons ! David Marais Avocat au Barreau de Paris Ancien SecrĂ©taire de la ConfĂ©rence Expert en Protection des Entreprises et Intelligence Economique Et Soraya Nouar Avocate au Barreau de Paris chez Recommandez-vous cet article ? Donnez une note de 1 Ă  5 Ă  cet article L’avez-vous apprĂ©ciĂ© ? Notes de l'article [1] Ceci dĂ©coulant fort logiquement des conditions comme des effets de la plainte mĂȘme simple, notamment l’obligation d’enquĂȘter, E. Bonis, Plainte et dĂ©nonciation, Rep. Dalloz Droit pĂ©nal et procĂ©dure pĂ©nale. [2] Sur le recours effectif Ă  un avocat François Fourment, Droit effectif et concret Ă  un procĂšs Ă©quitable et assistance effective » du gardĂ© Ă  vue, La Semaine Juridique Edition GĂ©nĂ©rale n° 47, 19 Novembre 2012, 1242. [3] A . Damien, H. Ader, RĂšgles de la profession d’avocat, Dalloz, n° [4] Avocats missions, septembre 2020, Fiche Dalloz. La colĂšre le dispute Ă  l’indignation dans cette Ă©niĂšme interpellation de la prĂ©sidente de l’Alternative Citoyenne Ivoirienne ACI, PulchĂ©rie Edith Gbalet, gardĂ©e Ă  vue, le lundi 22 aoĂ»t 2022, Ă  la PrĂ©fecture de Police d'Abidjan. En tout cas, c’est ce qui ressort de l’entretien tĂ©lĂ©phonique que nous avons eu, ce mardi 23 aoĂ»t 2022, avec l’un de ses avocats, Me BĂ©nĂ©. Les avocats de PulchĂ©rie Gbalet ont dĂ©cidĂ© de ne pas l’assister
 En fait, les avocats de PulchĂ©rie Edith Gbalet ont dĂ©cidĂ© de ne pas l’assister dans cette affaire. La raison ? Ils dĂ©noncent la maniĂšre cavaliĂšre avec laquelle leur cliente a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©e. Vu la maniĂšre cavaliĂšre avec laquelle elle a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©e, nous, on a dĂ©cidĂ© de ne mĂȘme pas l’assister parce que ce n’est pas de cette maniĂšre-lĂ  qu’on procĂšde Ă  l’arrestation de quelqu’un. On ne joue pas Ă  la ruse. Vous appelez un avocat pour lui dire que venez avec votre cliente. Il vous dit Ă©coutez, je ne suis pas dispo. Vous le rassurez que ce n’est pas pour une procĂ©dure et que c’est juste pour qu’elle vienne chercher son tĂ©lĂ©phone portable et son passeport. Il la laisse partir et vous la gardez », a dĂ©noncĂ© notre interlocuteur. On va alerter toutes les ONG » Et Me BĂ©nĂ© de poursuivre. Vous voulez l’interroger en l’absence de l’avocat. Ce n’est pas sĂ©rieux tout ça. Qu’ils fassent ce qu’ils veulent. Nous, on va alerter toutes les ONG, les patrons de presse pour leur dire voilĂ  ce qui se passe dans ce pays-lĂ  », a-t-il averti. Il a racontĂ© dans les moindres dĂ©tails comment PulchĂ©rie Gbalet a Ă©tĂ© attirĂ©e dans un traquenard, la veille. Moi-mĂȘme je ne me sentais pas trop bien. Je suis rentrĂ© tĂŽt Ă  la maison. J’avais vu son appel en absence et quand j’ai rappelĂ©, c’est sa fille qui a dĂ©crochĂ©. Elle m’a dit que le Dg l’avait appelĂ©e pour qu’elle aille rĂ©cupĂ©rer son passeport parce que l’autrefois son passeport et son tĂ©lĂ©phone portable Ă©taient restĂ©s lĂ -bas », a-t-il plantĂ© le dĂ©cor. Il raconte que la PrĂ©fecture de Police avait appelĂ© un des avocats de PulchĂ©rie. Mais entre-temps, la prĂ©fecture de police avait appelĂ© un de ses avocats. Ce n’était pas moi. Il y avait un autre qui Ă©tait en contact avec eux. Donc le commissaire l’a appelĂ© pour lui demander de venir avec sa cliente. Il lui a dit qu’actuellement, ce sont les vacances judicaires et que personne n’était disponible, et que c’était un peu difficile », a-t-il dit. Un de ses avocats avait Ă©tĂ© pourtant rassurĂ© que ce n’est pas pour une procĂ©dure
 Et notre interlocuteur de prĂ©ciser que l’assurance a Ă©tĂ© donnĂ©e Ă  son collĂšgue avocat. On l’a rassurĂ© que ce n’était mĂȘme pas pour une procĂ©dure en tant que telle, et que c’était juste pour aller rĂ©cupĂ©rer son passeport et son portable. Donc il n’a pas jugĂ© nĂ©cessaire de l’accompagner. Il s’est dit que si c’était juste pour libĂ©rer son passeport, elle pouvait aller seule. Donc elle s’est rendue lĂ -bas », a-t-il fait savoir. La suite ? Les gens ont voulu l’interroger. Elle a dit que ’vous voulez m’interroger pourquoi ? Je ne suis pas venue pour ça. Moi, je suis venue juste pour rĂ©cupĂ©rer mon passeport et mon tĂ©lĂ©phone portable. C’est ce qu’on m’a dit’’. AussitĂŽt, elle a remontĂ© l’information Ă  l’autre avocat qui a appelĂ© le commissaire », relate-t-il. Et de lever un coin du voile sur la rĂ©action du commissaire. Il a dit qu’on a reçu des instructions, mais nĂ©anmoins il a dit qu’il allait faire remonter l’information. Malheureusement, il n’a plus appelĂ©. Quand lui-mĂȘme l’autre avocat ndlr a tentĂ© de le joindre, il le commissaire ndlr Ă©tait injoignable. C’est comme ça qu’elle est restĂ©e lĂ -bas, en garde Ă  vue depuis hier », a-t-il autorisation de la rĂ©daction ou partenariat prĂ©-Ă©tabli, la reprise des articles de mĂȘme partielle, est strictement interdite. Tout contrevenant s’expose Ă  des poursuites.

je ne parlerai qu en présence de mon avocat